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Norme NF EN 206-1

5/6/2019

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La norme NF EN 206-1Cette norme s’applique à tous les bâtiments et ouvrages de génie civil. Elle indique le rôle de tous les intervenants sur le chantier : le Maitre d'ouvrage,  le fabricant, l’entreprise.
Elle précise entre autre la classe de résistance à la compression des bétons à 28 jours qui est désignée par la lettre C suivie de nombres précisant les résistances mesurées.
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Retrouvez ici le texte complet de la norme NF EN 206-1
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Régler le béton de fondation*

5/6/2019

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Correctement régler le béton de fondation est une étape important dans la pose de bordures. Le béton va assurer la stabilité des bordures et garantir que sous le trafic des véhicules, l'ouvrage tiendra dans le temps.
Le réglage du béton de fondation intervient juste après l'implantation et le compactage de la fouille, et juste avant la pose des bordures et des caniveaux.
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Etape 1 :
A l'aide d'une plaque vibrante, il faut compacter la fouille, en s'assurant que le niveau fini attendu est correct. Si la fouille est compactée à un niveau "trop bas", il faudra mettre plus de béton que nécessaire pour rattraper le niveau et cela va engendrer des coûts supplémentaires pour le chantier. Si la fouille est compactée à un niveau "trop haut" , l'épaisseur de béton risque de n'être pas suffisante pour assurer une correcte pose et une correcte résistance des bordures. Il est donc essentiel de bien maîtriser l'implantation avant de se lancer dans la pose.    
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​Etape 2 :
La Fondation de béton souvent appelée "semelle" est réalisée en béton frais de classe C 16/20 conforme à la norme NF EN 206-1. Elle a une épaisseur variable en fonction du type de bordures qui sera posée. Pour connaitre l'épaisseur de béton attendue, il faut se reporter au CCTP du chantier. On peut néanmoins retenir que l'épaisseur de la semelle est en général supérieure à 10 cm.
La largeur de la fondation dépassera également de 10 cm de part et d'autre de l'emprise  de pose de la bordure et du caniveau. 
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Important :
Si le béton utilisé n'est pas frais, c'est à dire qu'il a déjà commencé à faire sa "prise", il doit être évacué en décharge. Son utilisation est impropre à la confection d'ouvrages, car sa résistance après séchage complet sera affaiblie.
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Le réglage du béton de la semelle se fait à l'aide d'une pelle carrée et suivant le cordeau d'implantation. Pour faciliter le travail de suivi, on trace une marque sur la pelle, de façon à ce que la distance entre la marque et le bout plat de la pelle soit égale à l'épaisseur de bordure moins 1 cm. Ensuite, on règle progressivement le béton en utilisant la pelle de façon à ce que la marque suive toujours la hauteur du cordeau d'implantation. 
On diminue la hauteur de la bordure de 1 cm pour tenir compte de l'écrasement du béton au moment de la pose de la bordure. 
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Pour plus de précisions, consulter le Fascicule 31 du CCTG.

Réalisé avec la contribution de Guillaume HAISE / Formateur BTP CFA INDRE & CHER
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Bordures et caniveaux

2/2/2019

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Rôle des bordures
​Les différentes bordures
​Nature des bordures
Pose de bordures
Les différentes vues
La normalisation
Litrage de béton
Type de bordures
Régler le béton de fondation*
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Rôle des bordures

4/13/2016

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​Dans les Travaux Publics, on rencontre plusieurs types de bordures et caniveaux. ils ont tous le même but :
  • Séparer entre eux les espaces de circulation et les délimiter.
  • Guider la circulation .
  • Canaliser les eaux de pluies vers les exutoires .
  • Bordures et caniveaux peuvent aussi jouer un rôle esthétique, dans le cadre de l’aménagement urbain ou dans des chantiers de clients individuels (particuliers).   
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Les différentes bordures

4/12/2016

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​Les bordures de trottoir (hautes), non franchissables :


Les bordures de trottoir de type T sont plus spécialement destinées aux voiries urbaines. Les bordures T1 et T2 sont les plus fréquemment utilisées mais il existe également des bordures T3 et même T4, plus hautes.
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​Les bordures franchissables
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Les bordures de type A1 et A2 sont des bordures d’accotement franchissables
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​Les bordures CS1 – CS2 – CS3 et CS4 sont des caniveaux à simple pente destinés à être utilisés, soit avec des bordures de type A, soit avec des bordures de type T. Les bordures CS1 et CS2 sont les plus fréquemment utilisées.
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​Les bordures AC1 et AC2 sont des bordures d’accotement franchissables avec caniveau simple pente intégrée.
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​Les bordures CC1 et CC2 sont des caniveaux à double pente.
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​Les bordures I1 – I2 – I3 et I4 sont des bordures destinées à la délimitation des îlots directionnels. Les bordures I1 et I3 sont simplement posées sur la chaussée alors que les bordures I2 et I4 sont encastrées.
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​Les bordures inclinées ou arrondies :


Les bordures P1 – P2 et P3 sont utilisées pour délimiter des espaces de stationnement, des allées piétonnes, des espaces verts, des terrains de loisirs, de sports.
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Nature des bordures

4/12/2016

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Les bordures bétons :

La bordure béton préfabriquée ou coulée est la bordure la plus couramment utilisée :
  • Comme élément de voirie, elle permet de séparer les flux de circulation.
  • Comme fil d’eau, elle permet de guider l’eau de pluie dans les avaloirs.

Elles n’ont pas un réel intérêt esthétique ; elles correspondent à un vocabulaire routier banalisant le territoire. Aujourd’hui encore, leur usage devrait être limité au strict nécessaire. Cela permet notamment de respecter l’aspect rural de nombreux bourgs. La gestion alternative des eaux de pluies a diminué la prégnance de ses bordures dans les aménagements. Elles sont soit éliminées soit enterrées en rive (meilleur intégration).

Cependant, une bordure bien utilisée peut participer à la lecture de l’espace notamment pour séparer l’espace piéton de la circulation automobile.

A l’usage, on risque de noter une dégradation de l’aspect et de la mise en oeuvre des bordures :
  • écailles dues au gel/dégel
  • grisonnement dû aux salissures
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Sciée
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Clivée
Les bordures en pierre naturelle :

Les bordures en pierre naturelle sont principalement utilisées dans l’aménagement et la réfection de bourgs anciens mais également préconisées par l’Architecte des Bâtiments de France dans les périmètres inscrits.

Le bloc de pierre naturelle extrait de la carrière subit diverses opérations de transformations jusqu’ au produit fini. Le façonnage du bloc permet d’obtenir un produit aux dimensions voulues. Pour cela, on utilise deux méthodes : le sciage et le clivage.

SCIÉE
L’utilisation de disques, câbles ou fils de diamants ou d’acier permet de débiter les blocs de pierre et leur donner une surface lisse.

CLIVÉE (ÉCLATÉE)
Sous la pression des mâchoires d’une cliveuse (ou éclateuse), la pierre se fend dans la dimension choisie.
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Bouchardée
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Flammée
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Smillée
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Grenaillée
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Sablée
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Polie
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Adoucie
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Egrisée
Ensuite, la surface de la pierre subit généralement un traitement qui vise à donner aux faces vues un aspect et un rendu de couleur choisie selon l’usage du produit. Il faut veiller à la compatibilité des traitements avec le type de pierre et l’usage.

BOUCHARDÉE
Surface rugueuse obtenue par la frappe d’une boucharde : outil muni de pointes plus ou moins espacées. Le bouchardage éclaircit la surface du granit.

FLAMMÉE
L’éclatement de la couche superficielle de la pierre, au passage d’une flamme rend la surface plane et rugueuse.





SMILLÉE
La surface éclatée de la pierre est frappée par un marteau à deux pointes (une smille) ou une broche. Les bosses les plus importantes sont réduites pour présenter une surface plus homogène.






GRENAILLÉE
Obtenue par projection de billes inox sur la pierre provoquant un éclatement superficiel de celle-ci. Ce façonnage permet d’obtenir une surface rugueuse (antidérapante) qui résiste plus longtemps.

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SABLÉE
Cette surface légèrement rugueuse est obtenue par projection d’un abrasif (sable).



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​POLIE
Lisse, brillante, réfléchissante et autonettoyante, cette surface est obtenue par le passage à grande vitesse et successif de meules abrasives de granulométries dégressives  : déconseillée pour les sols extérieurs.

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​ADOUCIE
Ce façonnage est similaire au polissage sans atteindre une granulométrie aussi fine. La finition est d’un aspect lisse et non brillant.





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​EGRISÉE
Cette surface unie et plane où persiste de fines rayures est obtenue à l’aide de meules abrasives de grains plus larges que pour l’adoucissage et le polissage. L’aspect dépend du grain de la pierre et de la dernière meule utilisée.
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Les bordures en pierre reconstituées :

Les bordures en pierre reconstituée sont généralement utilisées dans l’aménagement de centres bourgs qui ne sont pas soumis aux prescriptions de l’architecte des bâtiments de France.

De plus, la gamme de bordures en pierre reconstituée et son coût, inférieur à la bordure en pierre naturelle, encouragent les porteurs de projet à les préconiser.

La bordure en pierre reconstituée permet de créer sur mesure le modèle de bordure désiré (forme, teinte, finition…).
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Pose des bordures et caniveaux

4/11/2016

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Les bordures et caniveaux sont posés sur un lit de béton de résistance équivalente à un béton B16, de 10 à 15 cm d’épaisseur suivant les prescriptions indiquées dans le CCTP. La fondation doit dépasser de 10 cm de part et d’autre de la bordure. Le calage est réalisé avec le même matériau .

Implantation :
  • Bordures et caniveaux en béton .
L’implantation se fait de préférence fil d’eau , on vient ensuite mettre la vue de la bordure après avoir déporté les fiches de l’épaisseur des éléments à mettre en place. Cette technique évite les erreurs liées aux différentes dimensions et vues de bordures , quand elles sont posées sur un même alignement.   
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  • Bordures et caniveaux en pierre naturelle.
On procède de la même façon , implantation du fil d’eau, mais le cordeau avec la vue de la bordure reste devant car l’arrière des bordures  à souvent un aspect irrégulier,  et leur épaisseur n’est pas toujours constante. On utilise donc l’avant de la bordure pour effectuer le réglage et l’alignement.  
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Domaines d’emploi

4/11/2016

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Bordure type P :     
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  • Délimitation des espaces verts.
  • Blocage des revêtements de surface (pavés, enrobés).
  • Séparation de revêtements différents.                         
  • Pose en fond de trottoir.
  • En délimitation de chaussée à faible trafic.
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​Bordure type T :    

  • Délimitation de chaussée et parking en voirie lourde et légère , 
  • Non franchissable sauf si elle sont surbaissées , (vue 2 cm maxi).
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Bordure type A :     
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  • Délimitation de chaussée et parking en voirie lourde et légère.
  • Elles sont franchissables.
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Bordure type I :      
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  • Destinée à la construction d’ilots, elle est soit collée I1, I3 ou scellée I2 et I4 .      
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​Bordure type AC : 

  • Elle s’emploie dans le même cadre que la bordure A , elle est monobloc , avec un caniveau incorporé.
  • Il existe deux modèles, AC1 et AC2.
                   

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​Caniveau type CS
:


  • Se pose devant une bordure pour canaliser l’eau.​

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​Caniveaux type CC : 
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  • Se pose au point bas de la chaussée entre deux surfa-ces étanches , pour canaliser l’eau et la transporter vers les exutoires.
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Les bordures chasses roues : 

  • Obligent les véhicules à s’éloigner du bord de chaussée. 

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​Les bordures quai de bus : 

  • Leurs hauteurs permet un accès direct aux transports en commun pour les personnes à mobilité réduite.  
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​Les bordures de protection
: 


  • Elles sont destinées à empêcher les véhicules de s’approcher des bâtiments, ou d’accéder à des zones réservées aux piétons ou cyclistes. 
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Nature des bordures

4/11/2016

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​Le béton brut de couleur grise reste Le matériau le plus courant et le moins chère pour fabriquer des bordures et des caniveaux.

Néanmoins, on trouve d'autres types de bordures :

  • En béton teinté ou avec parement (type basaltine ).
  • En pierre naturelle granit ou grès avec diverses finitions  
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La pierre naturelle a de nombreux avantages : une variété de couleurs et de nuances, une grande solidité et une bonne résistance au sel de déverglaçage. 

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La normalisation Européenne

4/10/2016

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Caractéristiques principales des bordures et caniveaux :

Résistance à la flexion : La norme définie 3 classes de résistance.   
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Résistance aux agressions climatiques :
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Résistance à l’abrasion :
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Résistance à la glissance ou au dérapage :
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  • La résistance à la glissance et au dérapage est réalisée par un test d'adhérence appelé essai au pendule SRT. La norme garantit ainsi un produit qui ne comporte pas de risque de chute de plein pieds notamment pour les produits polis.
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Exemple de marquage sur bordures :
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